Maxime Thomas; Mlle Jeanne Gaignière dont la voix se mariait délicieusement au violon de M. Max Walléry; Mme Chapotot, qui a révélé un véritable tempérament dramatique dans l'Holocauste de Leconte de Lisle et s'est montrée très finement comédienne dans une scène du Misanthrope; Mme di Marco, exquise dans ses vocalises; Mme Gaston Selz qui, accompagnée par son mari, a interprété les œuvres de Paul Puget; M. A. Hellé, — un transfuge du théâtre, — qui s'est souvenu des leçons de ses maîtres, Talbot et Silvain, dans deux petites poésies, discrètement courtes; un chœur de quinze jeunes femmes qui a chanté avec un ensemble parfait; MM. Jean Mouillefarine et Lucien Courtois qui ont joué avec un naturel étonnant une saynètte militaire À la Chambrée; enfin Mme Farkas, la maîtresse de maison, qui bien encadrée par Mlles George, Dallix et Brunel de Pérard, a remporté un gros succès dans “Les Coteaux du Médoc”, comédie de Tristan Bernard.”