De virtutibus medicaminum, “Sur les vertus des médicaments”.
Édition
Bibliographie
Gilles de Paris (1162-v.1215) fait de lui un bref éloge.
Cité par Amaury Duval, Histoire littéraire de la France, ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la congrégation de Saint-Maur et continué par des membres de l'Institut (Académie royale des inscriptions et belles-lettres. Tome XVII. Suite du treizième siècle jusqu'à l'an 1226), Paris, Firmin Didot, 1832, p. 29:
Nominis ille mei celeberrimus arte medendi,
Cum sit et hic [Parisiis] ortus, cujus facundia grata est,
Et numquam laudanda satis, nec in agmine vatum
Nominis extremos sortiri debet honores.
Cum sit et hic alius nostrae non indecor urbi,
Oris adornati, solo mihi junctus in usu
Nominis; in reliquis major, meliorque gerendus.
Amaury Duval, “Gilles de Corbeil, médecin et poète”, Histoire littéraire de la France, ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la congrégation de Saint-Maur et continué par des membres de l'Institut (Académie royale des inscriptions et belles-lettres. Tome XVI. Treizième siècle), Paris, Firmin Didot, 1824, pp. 506-511.
Camille Vieillard, Gilles de Corbeil, médecin de Philippe-Auguste et chanoine de Notre-Dame (1140-1224?). Essai sur la société médicale et religieuse du XIIe siècle (XIX+456 p.), Paris, Honoré Champion, 1908.
Patrice Boussel, “Le Rayonnement de Salerne, Gilles de Corbeil (1140-1224)”, Moniteur des pharmacies 18 (décembre 1965) 2401-2402.
Mireille Ausécache, “Gilles de Corbeil ou le Médecin pédagogue au tournant des XIIe et XIIIe siècles”, Early Science and Medicine 3/3 (1998) 187-215.
Dictyographie
Collectif d'internautes, “Gilles de Corbeil”, Wikipédia, depuis 2011, en ligne en 2022.
gilles.decorbeil.txt · Dernière modification: 2022/11/16 20:44 de bg